La semaine 6 a été la semaine de la finalisation des masques, que nous avons présentés au groupe. De fait de certaine finissions sur les masques le groupe d'Haïti a commencé le travail en fin de semaine. Le travail des choeurs et des chants prends plus en plus de force, la partie haitienne en devient presque un opéra.
Les masques et le chant de Simbi dlo |
Nous avons eu quelques difficultés à monter la partie de Tirana, la mise en scène de cette partie est encore timide mais des pistes intéressantes en sont sorties. Au départ, du fait du temps restant de répétition, Frédérick Darcy avait pour projet de retirer cette partie pour les représentations du 13 et 14 juin au Théâtre Jean Vilar, mais à la demande des certaines personnes la partie a été réintégrée. Le temps de travail consacré à cette partie sera la plus courte, elle sera donc sur un mode de performance en essayant de la tirer au maximum.
Brahim Hadj Slimane et Matthieu Aubert s'occupent de la partie sur l'Algérie constituait de témoignages et de poèmes sur la guerre civile des années 90. Le travail avance, Brahim avait ramené beaucoup de documentation et de textes sur cette époque. Cependant, tout ces documents ne pourront pas être représentés, nous tentons, toutefois, d'en garder l'essentiel pour saisir au mieux les enjeux de cette époque.
La semaine prochaine qui sera aussi la dernière semaine des répétitions, elle sera essentiellement consacrée à ces deux parties.
Pour ce qui des logorrhées sur le bassin minier, nous sommes pratiquement à la forme finale, il manque a affiner la fin. Le travail est basé sur des statures du corps, une fabrication d'une série d'image rappelant l'univers des années 90 du bassin minier, marquée par un match de football joué au ralenti.
Le travail devient plus intensif et les journées plus longue mais le groupe reste solidaire et suit assez bien le rythme qui est demandé.
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